Nous faisons des dépistages avec des tests PCR ainsi qu’avec des tests antigéniques.
Les résultats sont communiqués directement par le laboratoire le lendemain du dépistage
Les résultats sont communiqués sur votre adresse mail, si vous n’en possédez pas vous avez la possibilité d’aller récupérer vos résultats directement au laboratoire.
215 Chemin de Sainte-Marthe, 13014 Marseille,
– Métro 2 : arrêt Bougainville puit prendre le bus 28 et s’arrêter à Sainte Marthe le Camp Marseille
– Bus 31 et 33
Oui, venez avec la carte vitale où l’enfant est enregistré
Oui nous intervenons à domicile par le biais d’un infirmier, si vous avez déjà un infirmier à domicile vous pouvez faire appel à ce dernier.
Lors de nos actions de dépistage nous distribuons des masques et gel hydroalcoolique aux personnes les plus précaires dans une quantité limitée.
Si vous répondez aux conditions vous pouvez bénéficier gratuitement de masque en pharmacie :
1) Si vous êtes positive au Covid-19
2) Si vous êtes cas contact
3) Si vous êtes une personne à haut risque
Il faut alors présenter une ordonnance ou un courrier de l’assurance maladie
Non, nous ne proposons pas d’action de vaccination. Mais nous pouvons vous aider pour réaliser les démarches afin d’être inscrit sur une liste d’attente.
Pour toutes autres questions ou renseignements supplémentaires vous pouvez nous utiliser notre formulaire de contact.
La mortalité de la COVID chez les personnes jeunes en bonne santé est très faible. En dessous de 20
ans, elle est estimée à moins de 1 mort sur 1 million. Entre 20 et 40 ans, la mortalité varie, entre 1 sur 10
000 et 1 sur 1000 ce qui est non négligeable.
Par ailleurs, il n’y a pas que la mortalité qui doit être prise en compte. Les formes sévères qui mènent à
une hospitalisation simple, voire en réanimation, sont plus fréquentes (près de 1%). Et ces formes
peuvent être associées à des séquelles lourdes. Même en dehors des formes graves, il y a un risque de
développer ce qu’on appelle le « covid long », qui s’accompagne de symptômes avec des conséquences
réelles sur votre vie quotidienne (perte de goût et d’odorat, fatigue chronique, problèmes cardiaques et
respiratoires).
Un certain nombre de cas de thromboses, pas tous mortels, ont été remontés à la suite d’injection des
vaccins AZ et J&J. Plus précisément, le risque de thrombose cérébrale ou localisée est
approximativement de 1 sur 100 000, sachant que nous sommes tous à risque d’en faire une. Par
exemple en prenant l’avion ou la pilule contraceptive, il y a un risque de thrombose localisée qui peut
avoir des conséquence sévère. S’il est bien réel, le sur-risque dû au vaccin est extrêmement minime.
L’Angleterre a ainsi vacciné massivement sa population avec le vaccin AstraZeneca, avec seulement
quelques cas de thrombose par million de personnes vaccinés.
A titre de comparaison, être malade de la COVID19 est associé à un risque 8 fois plus important de
thrombose grave. Il y a un recul suffisant aujourd’hui, avec plus de 100 millions de personnes vaccinées
par AstraZeneca, ce qui rassure énormément sur la sécurité de ce vaccin.
Non. Ce qui favorise les mutations c’est la circulation active du virus. Plus il circule, plus il risque de
muter, de s’adapter. Seule une vaccination de masse permettra de freiner la circulation, limitant ainsi
que risque de voir émerger des nouveaux variants. C’est malheureusement le cas en Inde ou au Brésil,
où l’épidémie est hors de contrôle et d’où émergent de nombreux variants qu’il convient de surveiller.
Ne pas se faire vacciner vous met en danger de contracter la maladie et de risquer d’avoir des séquelles
ou de mourir. En outre vous risquez de contaminer des proches qui sont en situation de fragilité et qui
pourraient développer des formes graves de la maladie. Enfin, l’immunité collective ne pourra se faire
que si une grande partie de la population est vaccinée sans quoi l’épidémie perdurera.
Cette prouesse est le résultat d’actions globales et collectives afin de mettre au point des vaccins dans
un temps record. Des start-up innovantes ont bénéficié de soutiens financiers massifs pour développer
et faire valider des techniques nouvelles à l’instar de BioNtech et Moderna.
Les méthodes de séquençage de l’ARN étaient très aboutie en 2020, ce qui n’était pas du tout le cas il y
a 20 ans. Ainsi, la séquence complète du SARS-COV-2 était déjà connue et diffusée dès début janvier
2020. Des chercheurs travaillaient déjà sur un vaccin pour d’autres coronavirus, ainsi les chercheurs
avaient déjà une certaine expertise.
Oui ! Il n’y a aucun risque rapporté pour les femmes enceintes. Se faire vacciner est d’autant plus
important que la COVID-19 semble clairement plus dangereuse chez les femmes enceintes, et de
manière croissante à l’approche du terme. Des études de très bonnes qualités ont confirmé la sécurité
du vaccin chez les femmes enceintes.
Les femmes qui allaitent peuvent également être vaccinées.
Les vaccins actuels ont une efficacité de plus de 90% sur les formes graves. Ça veut dire que le risque
de contracter la maladie est considérablement réduit. Il existe évidemment un risque minime d’être
contaminé en étant vacciné, il s’agira alors d’une forme asymptomatique ou faiblement grave.
Par ailleurs de plus en plus d’études semblent rapporter le très faible risque de contamination une fois
vacciné. Dans plusieurs pays, les personnes vaccinés ne sont plus tenus de garder le masque et
peuvent reprendre une vie normale progressivement. Si une grande partie de la population est vaccinée
la circulation du virus diminuera progressivement et la pandémie s’arrêtera.
L’industrie pharmaceutique cherche à vendre les produits qu’elle a développés mais la plupart des
vaccins ont été développés par des chercheurs indépendants, sur lesquels l’industrie a investi. Le
processus de validation suit des règles très strictes, avec des évaluation indépendantes rigoureuses.
L’évaluation de la situation en Israël, en Angleterre ou aux Etats-Unis montre clairement que ces vaccins
sont efficace pour réduire la circulation du COVID. Alors certes, certains laboratoires pharmaceutiques
pourront tirer profit du développement de leur vaccin. Mais c’est toute la population aussi qui en
bénéficie.
Tous les traitements présentent des risques d’effets secondaires qui peuvent être parfois, mais très
rarement, mortels. Ainsi, la liste des effets indésirables du paracétamol ou de l’ibuprofène elle est
longue. Ces risques sont inhérents à toute thérapie mais ils sont extrêmement faibles. Par exemple, le
risque d’un effet indésirable grave après une prise d’aspirine est de plus d’un sur 10 000, soit beaucoup
plus que le risque de thrombose par la vaccination.
A titre de comparaison, le risque de développer une thrombose grave après vaccination approche celui
d’avoir un accident d’avion sur une compagnie régulière.
Aucun vaccin jusqu’à présent n’a présenté un risque quelconque à long terme. Nous avons déjà
énormément de recul sur les vaccins anti Covid, des centaines de millions ont été déjà vaccinés depuis
des mois. Un risque à long terme c’est un risque faible à court terme qui s’accumulerait. Ainsi, tout
risque à long terme peut déjà s’estimer avec le recul actuel.
En revanche, nous manquons de recul sur les conséquences à long terme du COVID qui pourraient être
graves chez certaines personnes. N’oublions pas, enfin, que certains virus augmentent le risque de
développer certains cancers.
Oui c’est vrai. Il est probable qu’un rappel de vaccin soit nécessaire tous les ans comme c’est le cas
pour la grippe. Ce rappel sera adapté aux nouveaux virus qui pourraient émerger afin de nous protéger
durablement contre tous les variants qui circuleraient.
Non, en aucune façon. L’ARN messager ne peut pas interagir avec le génome humain et sera éliminé
assez rapidement. Le principe est simplement de commander la production d’une protéine (la protéine S
du SARS-COV-2) pour provoquer une réaction immunitaire et la fabrication d’anticorps neutralisants.
L’ARN messager contenu dans le vaccin est une partition que l’organisme va exécuter, une sorte de
programme informatique qui conduit à la synthétisation d’une fraction du Sars-CoV-2 par notre propre
corps. En procédant ainsi, le badge d’entrée du Sars-CoV-2 dans nos cellules se retrouve désactivé et le
virus est dans l’incapacité de pénétrer dans notre organisme.
Les efforts de recherche se sont aussi massivement concentrés sur les traitements. Et
malheureusement, jusqu’ici, très peu ont montré un bénéfice dans la COVID (principalement la
dexaméthasone – un médicament générique et très bon marché). A ce jour Il n’existe aucun traitement
dont l’efficacité ait été démontrée. Ni ceux des laboratoires pharmaceutiques, ni le zinc, la vitamine D ou
encore l’ivermectine. Les pays qui ont fait le choix de promouvoir ces traitements sont frappés par une
mortalité sévère. Le Brésil en est la triste illustration.
Pour que la pandémie s’achève il faudra une vaccination massive de la population en complément des
gestes barrière. Il y a beaucoup de créneaux qui s’ouvrent. Et si vous avez peur, ça peut se comprendre,
mais c’est irrationnel. Alors allez-y, même avec votre anxiété. On peut trouver des créneaux plus
facilement. De nombreuses plateformes proposent des rendez-vous de vaccination, elles sont plus la
plupart accessibles depuis le site vitemadose : https://covidtracker.fr/vitemadose.
Oui tout à fait. Pour une raison très simple : même vacciné, il persiste une possibilité d’être porteur voire
contaminant. Tant que la couverture vaccinale est insuffisante et tant que le virus circule, le respect des
gestes barrières est indispensable.
Quand la grande majorité de la population sera vaccinée et que le virus ne circulera quasiment plus, il
est possible que petit à petit, nous puissions nous relâcher progressivement. Mais ce n’est pas du tout le
cas pour l’instant.
C’est discutable. Il semble que certains vaccins peuvent être moins efficaces sur certains variants, en
particulier le variant dit Sud-Africain pour le vaccin Astra Zeneca. On peut donc légitimement se dire qu’il
est préférable de recevoir une dose de vaccin ARNm (Pfizer ou Moderna). Mais à l’heure actuelle, les
patients ayant une indication à la vaccination Astra Zeneca ne doivent pas refuser ou retarder la 2ème
injection. En pratique, après une première dose du vaccin Astra il faut une 2ème dose. Et rien ne permet
de dire que l’un ou l’autre des vaccins est préférable pour la deuxième.
Actuellement, la prévalence des variants pour lesquels le vaccin Astra Zeneca est moins efficace est très
faible (moins de 10%). Il faut donc rester confiant dans l’efficacité du vaccin Astra, et recevoir la
deuxième dose dès que c’est possible.
En effet, il y a des différences d’efficacité selon les vaccins et les variants.
Tout d’abord, pour résumer, tous les vaccins proposés en France ont une excellente efficacité sur la
COVID symptomatique, et surtout sur les formes graves.
Les vaccins ARNm (Pfizer et Moderna) sont ceux qui ont montré la plus forte efficacité (plus de 95%) sur
tous les variants. Le vaccin Astra Zeneca, même s’il a une efficacité un peu moindre sur la COVID,
garde près de 100% d’efficacité sur les formes graves. Et ce chiffre est de 90% pour le J&J.
Tous les vaccins proposés en France ont donc une efficacité excellente. Une étude préliminaire a
suggéré que le vaccin Astra Zeneca n’était pas aussi efficace face au variant Sud-Africain. Mais gardons
en tête que ce variant ne représente même pas 5% des variants circulant en France.
En résumé, pour éviter la maladie, tous les vaccins sont bons, et le meilleur est celui qui est disponible!
Non, les cas d’allergies aux vaccins COVID sont extrêmement rares. Les contre-indications sont
uniquement :
· Antécédent de réaction allergique avérée à la première injection
· Antécédent d’allergie à un des composants du vaccin, en particulier aux polyéthylène-glycols et
par risque d’allergie croisée au polysorbate
· Antécédent d’allergie à la trométhamine (TRIS, trométamol) pour les vaccins ARNm
Pas du tout. Tout d’abord, aucun des vaccins contre le COVID actuellement disponibles en France ne
contient des métaux lourds. Ensuite, il est vrai que certains adjuvants ou stabilisateurs d’autres vaccins
contiennent de l’aluminium ou du mercure. Mais cela ne comporte aucun risque. Nous avons plus de 90
ans de recul sur l’aluminium dans les vaccins et il n’y a jamais eu de risque rapporté.
Tout d’abord, même si les risques sont faibles, ils ne sont pas nuls. Ensuite, il n’y a aucune raison de
penser qu’une éventuelle 2ème infection sera la même que la première. L’intensité des symptômes et la
sévérité de la maladie dépend d’énormément de facteurs différents et il est impossible d’estimer à
l’avance si l’on fera une forme bénigne.
Enfin, on rappelle que la vaccination n’est pas simplement une décision personnelle, mais doit aussi
s’intégrer dans une réflexion collective.
Cf cette question/réponse, seule la vaccination du plus grand
nombre permettra d’éteindre cette épidémie.
Cette théorie circule sur les réseaux complotistes. Elle n’est fondée sur rien. Bien sûr, les maladies que
l’espèce humaine a croisées sur son chemin ont été au moins partiellement vaincues par notre système
immunitaire, sinon, nous ne serions pas là. Mais c’est une victoire collective, obtenue au prix de
véritables hécatombes. Avant les vaccins, la diphtérie ou la variole tuaient les enfants par dizaines de
milliers. Avant les antibiotiques, la tuberculose, les infections rénales ou les pneumonies étaient souvent
mortelles. La mortalité infantile touchait près d’un enfant sur deux, et l’âge moyen du décès était de 50
ans et non de 80 ans !
Alors oui, notre espèce a survécu à ces maladies, mais les individus ont payé un lourd tribut à ces
infections. Il est irresponsable de laisser entendre que l’on peut laisser mourir des dizaines de milliers
d’individus sans rien faire.
Non, pas du tout
Le vaccin commence à avoir un effet protecteur au bout de 2 semaines environ. Il n’y a donc rien
d’étrange à ce qu’on puisse être infecté alors qu’on vient d’être vacciné. Il se trouve que beaucoup de
cas de COVID post vaccin ont été décrit il y a quelques semaines. C’était tout à fait attendu car la
circulation du virus était très élevée, avec un taux d’incidence très fort. Le risque d’être contaminé était
donc important à cette période, qu’on ai ou non reçu la première dose.
Il n’y a aucune donnée qui pourrait suggérer que se faire vacciner augmente le risque d’être malade du
COVID.